C'est un polonais qui ne boit pas qui te parles doublé d'un banquier qui a seulement la volonté de vouloir servir ses sociétaires au mieux, et qui a des copains chinois qui bouffent pas de riz !

Quadéroussel a écrit:....de toute façon, par rapport au Post de FICK.. tu as vachement dérivé !
Il y avait, pour ma part, une similitude a faire entre cette histoire et la réalité économique : à savoir qui détient les capitaux ! pont barre ! Je ne crois pas m'etre trompé de beaucoup en désignant les Chinois et les Banquierscomme étant ces Financiers!!
Mon commentaire s'arrétait là et n'avait aucune connotation raciste ou xénophobe - et en principe j'assume toujours mes écrits et dis clairement les choses ! Comment les banquiers font la finance ? comment les chinois prospèrent ils ? c'est pas le sujet - mais indirectement ça le sous tend!
Quend a écrit:Et l'amour alors![]()
C'est ça qui fait tourner les humains......
Mais je te concède que c'est plus "palpable" que l'argent![]()
Quend a écrit:Et l'amour alors![]()
C'est ça qui fait tourner les humains......
Mais je te concède que c'est plus "palpable" que l'argent![]()
FICK1G a écrit:Ca se passe dans un village qui vit du tourisme, sauf qu'à cause de la crise, il n'y a plus de touristes...
Tout le monde emprunte à tout le monde pour survivre. Plusieures moi passent, misérables.
Arrive enfin un touriste qui prend une chambre. Il la paie avec un billet de 100 €. Le touriste n'est pas plutôt monté dans sa chanmre que l'hotelier court porter le billet chez le boucher à qui il doit justement 100 €. Le boucher va aussitôt porter le même billet chez le paysan qui l'approvisionne en viande. Le paysan, à son tour, se dépéche d'aller payer sa dette à une fille à qui il doit quelques passes... Cette dernière boucle la boucle en se rendant à l'hôtel pour rembourser l'hôtelier qu'elle ne payait plus quand elle prenait une chambre à l'heure.
Comme elle dépose le billet de 100 € sur le comptoir, le touriste, qui venait de dire à l'hôtelier qu'il n'aimait pas la chambre et n'en voulait plus, ramasse le billet et disparait...
Rien n'a été dépensé, ni gagné, ni perdu. N'empêche que plus personne dans le village n'a de dettes.
N'est ce pas ainsi qu'on est en train de résoudre la crise mondiale![]()
(source : TONIC MAGAZINE N° 129)
FICK1G a écrit:Je sais plus bien André... : Boult sur Suippe... pas très loin de la rue du Pont Nardenne il me semble...![]()
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