Pas trop le temps, mais bon :
Le viscolock, c'est le blocage automatique progressif du différentiel. En mode 4x4, sans différence de résistance entre les 2 roues (avant), le différentiel est libre. Si une roue patine, le rôle du visco est de transmettre le couple à celle qui motrice. On est donc bien en 4x4, et pas en 3x4 : c'est quand on passe en 3x4 réel (une roue en l'air, ou sans édhérence), que le systèle bloque et transfert ce qui est disponible su celle à qui ça va servir
La légende (on en parle, on en parle, mais à ma connaissance ça n'a pas été prouvé), c'est que le viscolock bomby vient de chez Subaru.
Don Camillou avait fait une étude complete du système dans le cadre de ses études, et il pourrait en parler longuement, mais je ne sais pas si il revient zoner sur le JDQ de temps en temps ....
Le démontage du bouzingue ne présente aucun intérêt en lui même, sauf à aimer les autopsies, et aucune intervention n'est prévue sur le système en matière d'entretien.
Le plus du système, c'est son automatisme.
Le moins, c'est qu'un différentiel à blocage immédiat 100 % sera toujours plus efficace même si il génère plus de contraintes pour la mécanique.
Du point de vue de l'utilisateur, je recommande quand même de se méfier des réactions parasites, qui peuvent être violentes.
Exemple type : forte montée, avec adhérence oscillant en permanence entre le fort et le précaire (boues et racines, par exemple). Dans ce cas de figure, l'adhérence étant sans cesse en train de varier de façon importante, les réactions de blocage et de transfert de couple peuvent entrainer des écarts de trajectoire pour qui ne s'attendrait pas au phénomène, en étant très actif au pilotage. En bref, on le sent passer dans le guidon !
