




Voilà, en gros, les 4 possibilités (majeures) qui s'offrent à qui voudrait s'aventurer dans ce domaine.



Le fournisseur, ou concédant, distribue ces produits en exclusivité au concessionnaire. Celui-ci est un commerçant indépendant qui va acheter les biens du fabriquant pour les revendre.
Le contrat de concession a trois caractéristiques :
-contrat impliquant une activité d’achat et de vente : le concessionnaire agit en son propre nom et pour son compte personnel en achetant les produits du fournisseur qu'il revend à sa clientèle;
-exclusivité de fourniture;
-exclusivité d’approvisionnement.

La filiale agit en son nom propre et à ses propres risques. Cependant, même si elle est autonome du point de vue de la gestion quotidienne, elle reste fortement dépendante de la maison-mère au niveau stratégique - notamment au niveau des investissements et de la définition de la politique commerciale - dont elle doit se conformer aux objectifs. En fait, le degré d'autonomie dont jouit la filiale dépend dans une large mesure de la politique d'adaptation ou de standardisation de la stratégie marketing de l'entreprise exportatrice.

En gros, j'ai classé ces modes de ventes dans l'ordre de dépendance à une marque et inversement aux risques à prendre pour se lancer dans l'activité.
Hormis le fait que le gars qui gère la société connaisse ce qu'il vend et tous les aspects commerciaux des "bons" vendeurs ( bagout, présentation, impression de confiance etc...), si vous deviez voir s'ouvrir un "nouveau magasin"



Sinon, vous, votre "concessionnaire" (à ne pas prendre sous la définition citée au dessus) il a quel statut, justement

