Le matin au réveil, il ne pleut plus mais le temps menace.

Après avoir fait le plein d’essence et acheter le pain à Boën, nous attaquons la montée dans Le Forez.
Nous traversons de magnifiques forêts, je profite un maximum du paysage avant la pluie.




Arrivés au sommet, nous sommes arrêtés par un drôle de panneau. Cela ressemble à un panneau d’information avec une voiture barrée et une phrase du genre




Cela nous amène à prendre un chemin très raide avec des grosses pierres. Cette séance de franchissements rompt la monotonie, cela aurait pu être très sympa si une forte pluie ne s’était mise à tomber.
A partir de cet instant, c’est le déluge. Nous rattraperons l’itinéraire prévu. Il pleut tellement que nous ne nous arrêterons même pas pour manger. Nous enchaînons les chemins sans voir à plus de 3 mètres. Il nous reste de nombreux kilomètres et nous commençons à être mouillé et à avoir froid.
Malgré cette galère, nous gardons notre bonne humeur.

Nous finirons par arriver au gîte où après une bonne douche chaude celle là, nous savourons le délicieux repas de la table d’hôte.



