Le Journal Du Quad

...... et puis le pauvre qui ne va pas à la neige peut dire pour se consoler, : " l'argent ne fait pas le bonheur " - Tu parles d'une consolation! - Ah, au fait ! faut que je pense à réserver à Courchevel - c'est c'la!

Quadéroussel a écrit:...... et puis le pauvre qui ne va pas à la neige peut dire pour se consoler, : " l'argent ne fait pas le bonheur " - Tu parles d'une consolation! - Ah, au fait ! faut que je pense à réserver à Courchevel - c'est c'la!

fais comme moi , viens habité aux pieds des pistes, comme ça tu n'a rien a payer

....ok ! j'annule Courchevel !

fais comme moi , viens habité aux pieds des pistes, comme ça tu n'a rien a payer [/quote]

eh bien d'accord, puisque tu le propose si gentiment on ce réserve tous une semaine pour venir chez toi
réserve nous déjà les pistes et les chemins de randonnés car je pense que l'on va être nombreux

JC si tu as besoin d'un manequin au corps d'athlète pour faire des défilés dans ta nouvel boutique je suis dispos

pour moi la crise ne change pas grand chose...tant que ce n'est pas la recession mais je n'ai pas spécialement de fric et ma priorité ce sont ma famille et ma baraque a payer , le quad n'est qu'un loisir, voir un défouloir et je le prefere a la moto que j'ai arreté par peur (pas de ma conduite mais de celle des autre )
et quand je pourrais m'acheté un vrais gros quad de grande marque la crise sera largement passer

ps: de toute façons la crise gène ceux qui ont des sous en bourse ce qui n'est pas mon cas

La pauvretée ne fait peur qu'aux riches, nous, on a déja l'habitude, on l'ai depuis plus longtemp que eux

Pardon pour les fautes mais l'idée est là

Bon, comme claude nous là dit, si on vas habiter chez lui, c'est gratuit ( woua j'ai fais des rimes) alors, a décembre claude, on sera 2 ou 300 dans ta maison, @+ et surtout merci

Moi je suis un vieux réveur... et je suis content qu'au fond, beaucoup me ressemblent: je ne suis pas un Alien...

Je me pose donc L'UNIQUE question de fond : pourquoi l'argent rémunére le capital au lieu de rémunérer le travail...

Personne n'a la réponse... à cette universelle question... pas plus l'employé que le petit artisant...

En fait, j'en suis venu à une certitude : c'est le monde dans le quel je vis, pas celui que je souhaite... mais il est une autre certitude encore plus dure : je l'ai dans le c*ul bien profond : il n'y a pas d'autre monde que celui là... pas d'échappatoire possible...

Et la dernière de mes certitudes : c'est parce que je l'ai bien droite dans le fion que je suis l'outil d'un monde meilleur pour nos gosses... sinon, c'est pas aujourd'hui que je suis inutile : c'était déjà hier, et ça c'est encore moins suportable que le reste.

Dans un moteur, ce qui se fatigue le plus vite... c'est l'huile... question de dureté des matières en friction...

Quend a écrit:

A ceux qui trouverai à redire, je vous dit M........ MMMMMMMMMMMais reg[color=red]uarder votre bonheur par rapport aux autres [/color]

Au putain la faute, tu vas te faire tuer non je riguole et le post est clos donc....Par contre chacun voit midi a sa porte et chacun a sa croix, plus ou moins lourde certe mais on peut pas comparer notre bonheur au malheur des autres
Je ne vous connais qu'au travers du forum et y'en a beaucoup a qui je voudrais serrer la main tellement j'ai l'imprésion que le courant passe mais bon...on est vraiment loin géographiquement
Allez courrage, de toute façon, ils peuvent pas nous faire un trou au c*l, on en a déjà un

Heu Quend; met pas la Fickette sur un piedestal s'il te plait

c'est jute des citations de Lao tseu .. le marchand de nems du coin de sa rue

JJ62 a écrit:Heu Quend; met pas la Fickette sur un piedestal s'il te plait

c'est jute des citations de Lao tseu .. le marchand de nems du coin de sa rue

Au coin de min rue, c'est la forêt... les chemins...

Moi aussi, y'a des mains que j'aimerai bien serrer.

ti-chauve a écrit:pour moi la crise ne change pas grand chose...tant que ce n'est pas la recession mais je n'ai pas spécialement de fric et ma priorité ce sont ma famille et ma baraque a payer , le quad n'est qu'un loisir, voir un défouloir et je le prefere a la moto que j'ai arreté par peur (pas de ma conduite mais de celle des autre )
et quand je pourrais m'acheté un vrais gros quad de grande marque la crise sera largement passer

ps: de toute façons la crise gène ceux qui ont des sous en bourse ce qui n'est pas mon cas

+1, tout comme toi, sauf que je ne fais pas de moto

FICK1G a écrit:Moi je suis un vieux réveur... et je suis content qu'au fond, beaucoup me ressemblent: je ne suis pas un Alien...

Je me pose donc L'UNIQUE question de fond : pourquoi l'argent rémunére le capital au lieu de rémunérer le travail...

Personne n'a la réponse... à cette universelle question... pas plus l'employé que le petit artisant...

En fait, j'en suis venu à une certitude : c'est le monde dans le quel je vis, pas celui que je souhaite... mais il est une autre certitude encore plus dure : je l'ai dans le c*ul bien profond : il n'y a pas d'autre monde que celui là... pas d'échappatoire possible...

Et la dernière de mes certitudes : c'est parce que je l'ai bien droite dans le fion que je suis l'outil d'un monde meilleur pour nos gosses... sinon, c'est pas aujourd'hui que je suis inutile : c'était déjà hier, et ça c'est encore moins suportable que le reste.

Dans un moteur, ce qui se fatigue le plus vite... c'est l'huile... question de dureté des matières en friction...

Pas mieux...

Mais, pour ceux que ça intéresse de comprendre la crise des subprimes

Alors voilà, Mme. Ginette a une buvette à Bertincourt, dans le Pas de Calais.
Pour augmenter ses ventes, elle décide de faire crédit à ses fidèles clients, tous alcooliques, presque tous au chômage de longue durée. Vu qu'elle vend à crédit, Mme. Ginette voit augmenter sa fréquentation et, en plus, peut augmenter un peu les prix de base du "calva" et du ballon de rouge.

Le jeune et dynamique directeur de l'agence bancaire locale, quant à lui, pense que les "ardoises" du troquet constituent, après tout, des actifs recouvrables, et commence à faire crédit à Mme. Ginette, ayant les dettes des ivrognes comme garantie.

Au siège de la banque, des traders avisés transforment ces actifs recouvrables en CDO, CMO, SICAV, SAMU, OVNI, SOS et autres sigles financiers que nul n'est capable de comprendre.

Ces instruments financiers servent ensuite de levier au marché actionnaire et conduisent, au NYSE, à la City de Londres, aux Bourses de Francfort et de Paris, etc., à des opérations de dérivés dont les garanties sont totalement inconnues de tous (c.à.d., les ardoises des ivrognes de Mme. Ginette).

Ces "dérivés" sont alors négociés pendant des années comme s'il s'agissait de titres très solides et sérieux sur les marchés financiers de 80 pays.

Jusqu'au jour où quelqu'un se rend compte que les alcoolos du troquet de Bertincourt n'ont pas un rond pour payer leurs dettes.

La buvette de Mme. Ginette fait faillite.

Et le monde entier l'a dans le cul....

très bon exemple d'explication, là, comme ça, je comprend mieux avec les alcoolos qui ont un portefeuille en ardoise